Citations similaires :
-
Après le bonheur de commander aux hommes, le plus grand honneur n'est-il pas de les juger ?
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais -
Le plus affreux supplice n'est-il pas de haïr, quand on sait qu'on est faite pour aimer ?
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais Le Barbier de Séville, Presses-Pocket n° 6168 -
Sans la liberté de blâmer, il n'est pas d'éloge flatteur.
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais -
Se venger de ceux qui nuisent à nos projets en renversant les leurs : c'est ce que chacun fait.
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais Le mariage de Figaro, Presses-Pocket n° 6168 -
Toute vérité n'est pas bonne à croire.
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais -
Feindre d'ignorer ce qu'on sait, de savoir tout ce que l'on ignore... voilà toute la politique.
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais -
Qu'avez-vous fait pour tant de biens ? Vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus.
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais -
Les femmes aiment beaucoup qu'on les appelle cruelles.
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais Le Barbier de Séville, Presses-Pocket n° 6168 -
Aujourd'hui, ce qui ne vaut pas la peine d'être dit, on le chante.
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais -
Pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir.
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais Le mariage de Figaro, Presses-Pocket n° 6168 -
Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur.
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais