Le son même du mot...

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3. Comme le vent sur des notes folles, j'entends le sifflement de l'hiver au fond de moi. Tout autour, la haine poursuit son travail de souillure de la mémoire des peuples. Il semble que l'histoire des Hommes est un présent qui se répète, parcourant chaque matin son indicible chemin, trouvant les mêmes montagnes à gravir, de l'orgueil, de l'égo, de la vanité. Apprenant à haïr, l'homme désapprend à aimer, affrontant les tempêtes créées par son essoufflement à vouloir dominer sa vie et celle des autres. Mais on ne dompte pas la vie, parce qu'elle change dès lors que nous changeons. La vie est un miroir de nos émotions et chacun de nous est un miroir de l'autre et pour l'autre, lié par l'ineffable destin de l'humanité. Le monde, est construit de nos imperfections. La vie, c'est ce qui existe à partir de nous. Comme le vent sur des notes fragiles, retrouver le regard de nos origines, celui de l'amour, pour que le regard de l'autre s'éclaire, pour que la mémoire des peuples s'illumine.

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4. La plupart des mépris ne valent que des mépris.

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5. L'ennemi commence à être dangereux quand il commence à avoir raison.

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6. Toujours, quand l'affection commence, le drame commence.

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7. L'année ne commence pas le 1er janvier, elle commence le 21 mars. Par quelle aberration a-t-on pu détacher ainsi le calendrier humain de la grande horloge cosmique qui règle la ronde des saisons?

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9. L'ennemi commence à devenir dangereux quand il commence à avoir raison.

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10. L'indifférence est le plus grand des mépris.

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11. Le silence est l'expression la plus parfaite du mépris.

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12. Le fascisme, c’est le mépris. Inversement, toute forme de mépris, si elle intervient en politique, prépare ou instaure le fascisme.

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13. Il n'est réplique si piquante que le mépris silencieux.

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14. Las ! où est maintenant ce mépris de fortune ? Où est ce coeur vainqueur de toute adversité ?

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15. J'ai le plus profond respect pour le mépris que j'ai des hommes.

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16. La moquerie est le langage du mépris, et l'une des manières dont il se fait le mieux entendre : elle attaque l'homme dans son dernier retranchement, qui est l'opinion qu'il a de lui-même.

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17. La familiarité engendre le mépris et les enfants.

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18. La méconnaissance et le mépris des droits de l'Homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l'humanité.

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19. L'absence ou le mépris du programme n'est pas nécessairement un signe de totalitarisme.

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20. La tolérance, c'est le mépris bourgeois de l'autre.

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21. Une mauvaise écriture est une des formes du mépris qu'on a pour autrui ; car elle prouve qu'on attache plus de prix à son propre temps qu'à celui des autres.

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22. La familiarité engendre le mépris... et les enfants.

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23. Les auteurs qui ont écrit sur le mépris de la gloire ont mis leur nom en tête du traité.

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24. Le mépris tourne vite à l'éloquence.

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26. Le mépris est une pilule qu'on peut avaler mais qu'on ne peut mâcher.

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27. Familiarité engendre le mépris.

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28. Le mépris des richesses et des honneurs est facile en somme ; ce qui est proprement difficile, c'est, une fois qu'on les méprise bien, de ne pas trop s'ennuyer.

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29. L'indifférence est le mépris pour l'âme.

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30. Il y a des temps où l'on ne doit dépenser le mépris qu'avec économie, à cause du grand nombre de nécessiteux.

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31. La hauteur de l'orgueil se mesure à la profondeur du mépris.

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32. L'amour et le mépris sont des sentiments qui me permettent de supporter mes semblables.

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33. Pour se faire riche, le mépris des richesses est la plus courte voie.

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34. La tranquillité des pauvres est dans le mépris des puissants

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