Il ne faut pas oublier...

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2. Lire aussi : Et si le travail donnait tout son sens au plaisir ? La leçon de Shakespeare

   Shakespeare l’avait déjà compris : sans effort, le plaisir perd sa saveur. Et si le travail était la clé du vrai bonheur ?

3. Une joie partagée est une double joie, un chagrin partagé est un demi-chagrin.

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4. Une joie partagée est une joie décuplée. Un chagrin partagé est un chagrin diminué de moitié.

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5. La souffrance ne se partage pas, encore moins l'oubli que, par ténacité, on trouve parfois dedans.

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6. La solitude est un chagrin ou une joie qu'on ne peut partager.

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7. On a beau croire le contraire, la joie se partage moins que le malheur.

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9. Un chagrin partagé diminue de moitié. Une joie partagée augmente du double.

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10. A l'oubli succède l'indifférence de l'oubli comme un écho muet qui prolonge la durée et augmente l'espace de l'oubli.

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11. Partage ma moto chaque fois qu'il fait beau Partage mon lit chaque fois qu'il fait gris.

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12. Trouve la joie dans toutes les choses de la terre, dans l'ombre et la lumière, mais avant tout, trouve ta joie dans l'homme.

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13. Etre capable de trouver sa joie dans la joie de l'autre : voilà le secret du bonheur.

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14. On ne partage pas sa vie avec quelqu'un parce qu'il est gentil, mais parce qu'il vous fait vibrer, rire, parce qu'il vous emporte sans vous retenir, parce qu'il vous manque même quand il est dans la pièce d'à côté, parce que ses silences vous parlent autant que ses conversations, parce qu'il aime vos défauts autant que vos qualités, parce que le soir en s'endormant on a peur de la mort, la seule chose qui vous apaise est d'imaginer son regard, la chaleur de ses mains.

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15. Le monde du partage devra remplacer le partage du monde.

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16. Ce qui nous reste d'enfance. Joie de rire, joie de voir des belles personnes, joie du spectacle, joie de la victoire, joie à en éclater de rire. Quand on a ce qu'on appelle joie, cela doit se voir sur le visage. On est plus beau. La joie rend beau. Plus beau qu'on est, à coup sûr. Joie, moment de bonheur.

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17. Le rire, c'est un instant qui passe. Mais la joie, la joie est une sorte de saignée extatique, une infamie de super-contentement qui déborde par tous les pores de l'être. On ne rend pas les gens joyeux du seul fait que l'on est joyeux soi-même. La joie trouve sa source dans l'être : elle est ou n'est pas. Elle se fonde sur des raisons trop profondes pour être comprise ou pour se communiquer.

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18. De la Joie Pure jaillit toute création. Par la Joie elle est soutenue, vers la Joie elle se dirige et à la Joie elle retourne.

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19. L'espérance d'une joie est presque égale à la joie.

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20. Faire le mal est un plaisir, non une joie. La joie, seule vraie victoire sur le monde, est pure dans son essence, elle est donc irréductible au plaisir, toujours suspect et en lui-même et dans ses manifestations.

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21. L'oubli, c'est la vie.

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22. L'amour, c'est l'oubli de soi

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23. Pour rester terre à terre, il vaut mieux suivre l'eau que de suivre le vent.

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24. La vie n'a qu'une forme : l'oubli.

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26. Aujourd'hui, tu es sur terre ! Demain, tu seras sous terre ! Quelle graine vas-tu laisser ?

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27. Certains souvenirs se refusent à sombrer dans l'oubli, quels que soient le temps écoulé ou le sort que la vie nous ait réservé. Des souvenirs qui gardent toute leur intensité et restent en nous comme la clé de voûte de notre temple intérieur.

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28. L'oubli est une grâce.

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29. La Terre est malade, la Terre est lasse de porter des hommes qui s'entre-tuent, la Terre est fatiguée de nourrir des êtres qui ne peuvent passer une heure de leur existence sans émettre une pensée néfaste.

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30. Ils débranchent les arbres pour rester plus "terre à terre"....et garder la langue de bois.

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31. Vivre très terre à terre, c'est perdre de la hauteur.

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32. Je ne suis pas terre à terre, j'irai toujours chercher la lune.

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33. Le souvenir est une forme de rencontre. L'oubli est une forme de liberté.

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34. Il y a une sorte de libération très terre à terre dans le fait de comprendre qu'il y a certaines vérités sur le fait d'être un être humain limité dont on ne sera jamais libéré. On ne peut pas dicter le cours des événements. Et la récompense paradoxale de l'acceptation des contraintes de la réalité est qu'elles ne semblent plus si contraignantes.

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