Vivre est une maladie... La mort...

Citations similaires :

2. Lire aussi : 11 novembre : Hommage aux Morts de la Première Guerre mondiale

3. La vie est une maladie de la mort.

   Louis Nucera
   • 14

4. La mort est une maladie de l'imagination.

   Alain
   • 3

5. La mort est la maladie des bien portants et des malades. Quand on n'est pas malade, on est encore quelqu'un qui doit mourir.

   Vladimir Jankélévitch

6. La maladie, la vieillesse, la mort, trois grandes humiliations pour l'homme.

   Remy de Gourmont
   • 6

7. On peut déclamer sa maladie ou réciter la mort des autres, mais sa mort propre, on la meurt toujours avec naturel.

   Vladimir Jankélévitch

9. La maladie n'est jamais une cause. La maladie est une réponse, une pauvre réponse que l'on invente à une souffrance.

   Christian Bobin La plus que vive
   • 49

10. La mort, ça ne se fête pas ! La mort , c'est froid ! La mort c'est vide et triste... et ça te laisse toute seule.

    Olivier G Boiscommun
    • 84

11. La mort n'est que la mort ; on ne signifie rien par sa mort mais on la subit.

    Eric-Emmanuel Schmitt
    • 24

12. La mort pour tous, mais à chacun sa mort. Après tout, le soleil nous chauffe quand même les os.

    Albert Camus L'envers et l'endroit, p.52
    • 35

13. L'homme accepte la mort mais non l'heure de sa mort. Mourir n'importe quand, sauf quand il faut que l'on meure!

    Emil Michel Cioran De l'inconvénient d'être né, 1973
    • 21

14. La mort chrétienne présentée comme une fausse mort constitue peut-être la dernière tromperie d'une existence fertile en canulars et semée de contrevérités.

    Philippe Bouvard
    • 21

15. La mort de ceux qu'on aime est douleur, tout comme la mort de nos préjugés, parce qu'on les aime aussi.

    Pierre Trépanier
    • 16

16. La vie est une maladie de l'esprit.

    Novalis
    • 5

17. La maladie est une conviction...

    Italo Calvino La conscience de Zéno
    • 3

18. Dieu est mort, Nietszche est mort, et moi-même je ne me sens pas très bien

    Woody Allen ?
    • 57

19. Quand l'argent empoisonne la mort, il ne sort de la mort que de la colère. On se bat sur les cercueils.

    Emile Zola Comment on meurt (1883)
    • 48

20. Si nombre de gens ont peur de la mort, la mort ne craint personne.

    Pierre Dac
    • 35

21. Après la mort, il n'y a rien, et la mort elle-même n'est rien.

    Sénèque
    • 28

22. Un mort-vivant est un oxymore, alors qu'un occis mort est un pléonasme.

    Sandrine FILLASSIER
    • 21

23. Mourir en combattant, c'est la mort détruisant la mort. Mourir en tremblant, c'est payer servilement à la mort le tribut de sa vie.

    William Shakespeare
    • 18

24. Dieu est mort, Marx est mort et moi-même, je ne me sens pas très bien

    Woody Allen
    • 12

26. Dieu est mort, Nietzsche est mort aussi... C'est terrible, je me sens seul tout à coup.

    Khalil Assala
    • 6

27. La mort pour certains hommes n'est pas seulement la mort : elle est la fin du propriétaire.

    Edmond et Jules de Goncourt
    • 1

28. Ce n'est pas l'amour qui est une maladie. C'est le manque d'amour qui menace la vie. Les deux mots les plus simples de l'univers, et pourtant les plus jalousement gardés, en assurent la guérison complète.

    Kati Demaegd
    • 33

29. La maladie de l'adolescence est de ne pas savoir ce que l'on veut et de le vouloir cependant à tout prix.

    Philippe Sollers Le Défi
    • 25

30. L'enthousiasme est une maladie qui se gagne

    Voltaire Lettres philosophiques
    • 14

31. La maladie du corps est la guérison de l'âme.

    Proverbe basque
    • 12

32. Toute conscience est une maladie.

    Fiodor Dostoïevski Dans mon souterrain, p.31, in Les oeuvres littéraires de Dostoïevsky, vol. V
    • 10

33. La guerre n'est pas une maladie... C'est un mal insupportable parce qu'il vient aux hommes par les hommes.

    Jean-Paul Sartre
    • 9

34. Pour moi, il est certain que la fantaisie est une maladie. Une maladie qu'on n'attrape pas, parce qu'on l'a de naissance. Une maladie qui est responsable de tout, surtout du ridicule et de la méchanceté.

    Thomas Bernhard Gel, trad. Boris Simon et Josée Turk-Meyer, p.36
    • 6