Citations similaires :

  1. Trente, trente-cinq ans, c'est l'âge où une femme peut faire les pires folies. Antonine Maillet
    Antonine Maillet
  2. Trente-six positions ! Hélas, pas trente-six sensations nouvelles ! Natalie Clifford Barney
    Natalie Clifford Barney
  3. C'est entre trente et trente et un ans que les femmes vivent les dix meilleures années de leur vie. Sacha Guitry
    Sacha Guitry
  4. Prier, parler au vide pour que le vide nettoie votre parole. Christian Bobin
    Christian Bobin Le Très-Bas., coll. folio #2681
  5. Cette inaliénable égalité devant le vide, l'horreur du vide, la souveraineté du vide. Que nous la reniions ou non, peu importe. C'est là que nous sommes. C'est là qu'adviennent les rencontres. Christian Bobin
    Christian Bobin Souveraineté du vide, coll. folio #2680
  6. On se vide soi-même, en essayant de combler leur vide aux autres.
    amine mehdi meribai
  7. L'inquiétude ne vide pas demain de son chagrin, elle vide aujourd'hui de sa force. Leo Buscaglia
    Leo Buscaglia
  8. Ton émoi vide d'amour, vide d'affection
    Christian Silvano Tshamala La Rosée
  9. L’espace vide n’est pas vide, il est le siège de la physique la plus violente
    John Archibald WHEELER
  10. L'espace vide n'est pas vide. Il est plein. L'Univers n'est pas séparé de cette mer d'énergie cosmique.
    David Bohm
  11. Ma philosophie est simple. Remplis ce qui est vide. Vide ce qui est plein. Gratte où ça démange.
    Alice Roosevelt Longworth
  12. Les tristesses de la vie se dissipent aux rayons de l'amour fraternel comme les gelées d'automne fondent le matin quand le soleil se lève. Félicité Robert de Lamennais
    Félicité Robert de Lamennais Le livre du peuple (1838)
  13. Le soleil n’aime pas qu’on abuse de ses rayons.
    Taha-Hassine FERHAT Auteur
  14. Les mots peuvent ressembler aux rayons X. Si l'on s'en sert convenablement, ils pénètrent n'importe quoi. Aldous Huxley
    Aldous Huxley
  15. Il y a beaucoup de rayons sur la roue de la vie. Premièrement, nous sommes ici pour explorer de nouvelles possibilités.
    Ray Charles
  16. Le sourire est à l'humanité ce que les rayons du soleil sont aux fleurs. Ce ne sont que des broutilles bien sûr, mais dispersés le long du chemin de la vie, le bien qu'ils font est inimaginable. Joseph Addison
    Joseph Addison The Spectator (1711)
  17. Les mots peuvent ressembler aux rayons X ; si l'on s'en sert convenablement, ils transpercent n'importe quoi. Aldous Huxley
    Aldous Huxley
  18. Aux chauds rayons de ton amour, j'ai quitté mon triste
    Aux chauds rayons de ton amour, j'ai quitté mon triste hiver pour un doux printemps refleuri.
  19. Le sourire est un centre unique. Ses rayons sont infinis.
    Nabil Alami
  20. Les enfants sont les rayons de soleil qui illuminent le couple
    Diego Rica Livre L'happyculteur de Diego Rica
  21. Le paradis est une bibliothèque dont tous les rayons sont dévalisés. Christian Bobin
    Christian Bobin
  22. Quand mon verre est plein, je le vide. Quand il est vide, je suis plein, et quand je suis plein, on me vide, mais je me plains !
    inconnu
  23. J'ai trente ans, mon vieux, et six ans de mariage... ça fait trente-six ! Sacha Guitry
    Sacha Guitry La pélerine écossaise, p.276, in Théâtre
  24. Le plus dur, c'était la fin du mois... Surtout les trente derniers jours... Coluche
    Coluche
  25. Si tu savais ce que c'est que d'avoir trente ans ! Il faut sans doute les avoir au moins deux fois pour le comprendre ! Sacha Guitry
    Sacha Guitry Mon père avait raison, p.47
  26. La physionomie des femmes ne commence qu'à trente ans. Honoré de Balzac
    Honoré de Balzac La femme de trente ans, p.234
  27. A trente ans, on n'a pas de peines infinies, parce qu'on a encore trop d'espérance, et l'on n'a pas non plus de désirs exagérés, parce qu'on a déjà trop d'expérience. Pierre Baillargeon
    Pierre Baillargeon
  28. À vingt ans ce qu'on veut, à trente ce qu'on peut.
    Proverbe Français
  29. Une femme de trente ans a d'irrésistibles attraits pour un jeune homme; et rien de plus naturel, de plus fortement tissu, de mieux préétabli que les attachements profonds dont tant d'exemples nous sont offerts dans le monde entre une femme comme la marquise et un jeune homme tel que Vandenesse. En effet, une jeune fille a trop d'illusions, trop d'inexpérience, et le sexe est trop complice de son amour, pour qu'un jeune homme puisse en être flatté; tandis qu'une femme connaît toute l'étendue des sacrifices à faire. Là, où l'une est entraînée par la curiosité, par des séductions étrangères à celles de l'amour, l'autre obéit à un sentiment consciencieux. L'une cède, l'autre choisit. Ce choix n'est-il pas déjà une immense flatterie? Armée d'un savoir presque toujours chèrement payé par des malheurs, en se donnant, la femme expérimentée semble donner plus qu'elle-même; tandis que la jeune fille, ignorante et crédule, ne sachant rien, ne peut rien comparer rien apprécier; elle accepte l'amour et l'étudie. L'une nous instruit, nous conseille à un âge où l'on aime à se laisser guider, où l'obéissance est un plaisir; l'autre veut tout apprendre et se montre naïve là où l'autre est tendre. Celle-là ne vous présente qu'un seul triomphe, celle-ci vous oblige à des combats perpétuels. La première n'a que des larmes et des plaisirs, la seconde a des voluptés et des remords. Pour qu'une jeune fille soit la maîtresse, elle doit être trop corrompue, et on l'abandonne alors avec horreur; tandis qu'une femme a mille moyens de conserver tout à la fois son pouvoir et sa dignité. L'une, trop soumise, vous offre les tristes sécurités du repos; l'autre perd trop pour ne pas demander à l'amour ses mille métamorphoses. L'une se déshonore toute seule, l'autre tue à votre profit une famille entière. La jeune fille n'a qu'une coquetterie, et croit avoir tout dit quand elle a quitté son vêtement; mais la femme en a d'innombrables et se cache sous mille voiles; enfin elle caresse toutes les vanités, et la novice n'en flatte qu'une. Il s'émeut d'ailleurs des indécisions, des terreurs, des craintes, des troubles et des orages, chez la femme de trente ans, qui ne se rencontrent jamais dans l'amour d'une jeune fille. Arrivée à cet âge, la femme demande à un jeune homme de lui restituer l'estime qu'elle lui a sacrifiée ; elle ne vit que pour lui, s'occupe de son avenir, lui veut une belle vie, la lui ordonne glorieuse ; elle obéit, elle prie et commande, s'abaisse et s'élève, et sait consoler en mille occasions, où la jeune fille ne sait que gémir. Enfin, outre tous les avantages de sa position, la femme de trente ans peut se faire jeune fille, jouer tous les rôles, être pudique, et s'embellit même d'un malheur. Entre elles deux se trouve l'incommensurable différence du prévu à l'imprévu, de la force à la faiblesse. La femme de trente ans satisfait tout, et la jeune fille, sous peine de ne pas être, doit ne rien satisfaire. Ces idées se développent au coeur d'un jeune homme, et composent chez lui la plus forte des passions, car elle réunit les sentiments factices créés par les moeurs, aux sentiments réels de la nature. Honoré de Balzac
    Honoré de Balzac La femme de trente ans, p.148
  30. A vingt ans l'enfant déforme les femmes, à trente ans il les conserve et je crois bien qu'à quarante il les rajeunit. Léon Blum
    Léon Blum