Citations similaires :
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La violence se donne toujours pour une contre-violence, c'est-à-dire pour une riposte à la violence de l'autre.
Jean-Paul Sartre -
Celui qui rend violence pour violence ne viole que la loi, et non l'homme.
Francis Bacon (philosophe) -
Je ne peux pas admettre la violence, même contre la violence.
Roger Martin du Gard -
Ce que la violence t'a fait gagner, une violence encore plus grande te le fera perdre..
Gandhi -
La violence et la force ne construisent jamais. La violence et la force ne paient jamais les hommes. Elles ne peuvent que contenter ceux qui se satisfont avec du provisoire. Malgré toutes nos civilisations occidentales, nous n'avons pas cessé de nous satisfaire de provisoire. Il serait temps de penser à de l'éternel.
Jean Giono -
La violence engendre la violence. C'est pourquoi la plupart des révolutions se sont perverties en dictatures.
Vaclav Havel -
La violence verbale est la première étape de la violence générale contre les femmes.
Isabelle Alonso -
La violence aux mains du peuple n'est pas la violence, mais la justice.
Eva Peron -
La non-violence est infiniment supérieure à la violence, le pardon est plus viril que le châtiment. Le pardon est la parure du soldat.
Gandhi -
Violence is the last refuge of the incompetent. La violence est le dernier refuge de l'incompétence.
Isaac Asimov Foundation, p. 58 -
Ce que tu gagneras par la violence, une violence plus grande te la fera perdre.
Gandhi -
La violence a coutume d'engendrer la violence.
Eschyle -
La violence engendre la violence.
Eschyle -
La haine entraîne la haine, la violence engendre la violence, la guerre nourrit la guerre.
Adage -
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Luc Besson le 5ème élément -
En vieillissant, ce qui meurt en nous, ce n'est pas le passé, c'est l'avenir. Lorsqu'on a perdu sa seule raison d'espérer, sa seule véritable force, son unique sujet de fierté, alors il n'y a plus rien à faire que de noyer dans la graisse ses plus belles années, et remplacer par l'ivresse et la bouffe la flamme qu'on avait dans l'âme à 20 ans.
Anne Percin Bonheur fantôme -
Ce n'est pas que la vie soit courte, c'est que le temps passe vite...
Henri Jeanson -
On nous dit souvent qu'au bout d'un certain temps, la passion devient autre chose, de plus solide et plus beau. Que cette autre chose, c'est l'Amour avec un grand A, un sentiment certes moins excitant, mais aussi moins immature. J'aimerais être bien clair : cette autre chose m'emmerde, et si c'est cela l'Amour, alors je laisse l'Amour aux paresseux, aux découragés, aux gens mûrs, qui se sont engoncés dans leur confort sentimental. Moi, mon amour il a un petit a mais de grandes envolées ; il ne dure pas très longtemps mais au moins, quand il est là on le sent passer.
Frédéric Beigbeder -
Qu'en attente de ce qu'on aime une heure est fâcheuse à passer !
Pierre Corneille -
Le bonheur, c'est savoir ce que l'on veut et le vouloir passionnément.
Félicien Marceau -
Les hommes se transmettent la vie comme les coureurs se passent le flambeau.
Lucrèce -
Le vrai superstitieux, c'est celui qui est persuadé que passer sous un chat noir porte malheur.
Jean-Loup Chiflet -
Les enfants eux, vivent la vie sans se préoccuper ni du passé, ni de l'avenir. Ils sont présents au monde.
Paul Perreault -
Le Canadien français n'arrive pas à mourir à un certain passé, à ce qu'il fut dans une lointaine ascendance. Les racines de l'arbre généalogique lui dévorent la moelle.
Pierre de Grandpré -
Si tu m'entends hurler à la mort, c'est sûrement que je passe un bon moment.
série Mercredi Mercredi à Eugene -
La défaite est tellement plus intelligente. On pourrait passer sa vie à la méditer. C'est auprès d'elle que l'on puise ses vraies ressources, que l'on sublime ses revanches. Que faire de cette défaite ?
internaute -
La haine est une saloperie, la vie est trop courte pour passer son temps à avoir la haine, ça n'en vaut pas la peine.
film American History X -
Que l'on me donne six heures pour couper un arbre, j'en passerai quatre à préparer ma hache.
Abraham Lincoln -
Nos contemporains sont incessamment travaillés par deux passions ennemies : ils sentent le besoin d'être conduits et l'envie de rester libres. Ne pouvant détruire ni l'un ni l'autre de ces instincts contraires, ils s'efforcent de les satisfaire à la fois tous les deux. Ils imaginent un pouvoir unique, tutélaire, tout-puissant, mais élu par les citoyens. Ils combinent la centralisation et la souveraineté du peuple. Cela leur donne quelque relâche. Ils se consolent d'être en tutelle, en songeant qu'ils ont eux-mêmes choisi leurs tuteurs.
Alexis de Tocqueville De La Démocratie en Amérique, 1835. -
L’Homme vit le présent et dans son esprit, il revoie le passé et imagine le futur.
Taha-Hassine FERHAT Auteur