Les femmes russes n'éprouvent jamais...

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2. Lire aussi : Il a inventé la psychanalyse, mais restait perdu face aux femmes

   Au début du XX? siècle, Sigmund Freud explorait les mystères de l’inconscient avec la fougue d’un pionnier, armé de ses théories révolutionnaires et de son cigare. Pourtant, il y avait un sujet qui le laissait perplexe, et pas qu’un peu : comprendre les f

3. Lorsque la main d'un homme effleure la main d'une femme tous deux touchent à l'éternité.

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4. Une femme, c'est le mystère à portée de la main.

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5. Le temps passe. Et chaque fois qu'il y a du temps qui passe, il y a quelque chose qui s'efface.

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6. Le baiser d'une femme, c'est la poignée de main du boxeur avant le combat.

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7. Si le juge suprême tuait de sa propre main, comme au temps des sacrifices, nous pourrions juger le juge d'après ses mains et son visage.

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9. Pour qu'une femme puisse donner sa main avec dignité, elle doit d'abord pouvoir se passer de soutien.

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10. Une femme, c'est une partie de plaisir ! Ne pourrait-on pas dire, quand on en rencontre une : voilà une belle nuit qui passe ?

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11. Aimer une femme intelligente c'est un plaisir de pédéraste.

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12. La femme est un délicieux instrument de plaisir, mais il faut en connaître les frémissantes cordes, en étudier la prose, le clavier timide, le doigté changeant et capricieux.

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13. L'homme vient au monde avec du pain dans la main ; la femme naît les mains vides.

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14. Une femme qui se livre en amour, qui gémit son plaisir, c'est d'elle que nous attendons les exaltations les plus pures.

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15. Le temps d'attendre c'est déjà du plaisir.

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16. La femme est une source de vie et non un objet de plaisir.

    

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17. L'exactitude de la femme désirée n'est pas un plaisir proportionné aux souffrances que cause son retard.

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18. Une femme qui ne cache pas son plaisir pendant l'amour, c'est peut-être ce qu'on appelle "un corps franc".

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19. Le plaisir, quand on est une honnête femme, cela ne vous laisse jamais la conscience tranquille.

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20. Une femme qui ne désire pas être secouée de temps en temps est une malade du ventre ou du cerveau.

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21. Il y a un plaisir délicieux à serrer dans ses bras une femme qui vous a fait beaucoup de mal, qui a été votre cruelle ennemie pendant longtemps et qui est prête à l'être encore.

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22. La main à plume vaut la main à charrue. Quel siècle à mains !

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23. Garde toujours dans ta main la main de l'enfant que tu as été.

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24. Un sourire, une accolade, la main dans la main et voilà que l'espoir renait en amour.

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26. La main n'est plus la main quand elle a saisi le marteau, elle vole, transparente, entre lui et le clou, elle disparaît et se fond, la mienne a fui depuis longtemps dans l'écriture. La main et la pensée s'évanouissent dans leurs déterminations.

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27. Une femme dont la bouche sourit au pauvre, dont la main blanche distribue sans hauteur l'aumône et panse attentivement les blessures, rayonne d'une sublime beauté.

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28. Ce chemin avec toi, main dans la main est deux fois moins loin.

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29. Je t'aime dans le temps. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors, je t'aurai aimée. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été, ne pourra jamais être effacé.

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30. No main's land, n. m. Partie du dos que la main ne peut atteindre, ni pour la laver, ni pour la gratter.

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31. Si de la main droite tu fouettes l'enfant, de la main gauche tu le presses sur ton coeur.

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32. Le coeur sur la main quand il faut, et la main sur la figure quand c'est nécessaire !

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33. L'amour vrai, c'est le plaisir que nous donne le plaisir de l'autre, la joie qui naît en moi au spectacle de sa joie, le bonheur que j'éprouve à le savoir heureux. Plaisir du plaisir, joie de la joie, bonheur du bonheur, c'est cela l'amour, rien de plus.

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34. Le coeur de la femme ne change pas avec le temps et ne se transforme pas avec les saisons. Le coeur de la femme agonise longtemps mais ne meurt pas. Le coeur de la femme ressemble à un désert quand l'être humain le prend pour un champ de batailles et de massacres. Il arrache ses arbres, brûle ses herbes, souille ses pierres de sang et dans son sol, il enterre les os et les crânes. Pourtant, elle demeure paisible et calme. En elle, le printemps reste toujours le printemps et l'automne demeure l'automne jusqu'à la fin des temps.

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