Citations similaires :

  1. On place ses éloges comme on place de l'argent, pour qu'ils nous soient rendus avec les intérêts. Jules Renard
    Jules Renard Journal (18 mars 1890), p.47
  2. Cesse de chercher ta place dans la vie, ta place te cherche.
    Kalif Ali
  3. Une place pour les rêves Mais les rêves à leur place. Robert Desnos
    Robert Desnos
  4. Je me satisfais aisément du meilleur. Winston Churchill
    Winston Churchill
  5. On juge plus aisément autrui que soi-même.
    On juge plus aisément autrui que soi-même.
    Mazouz Hacène réflexion
  6. Non ; on est aisément dupé par ce qu'on aime. Et l'amour-propre engage à se tromper soi-même. Molière
    Molière
  7. On s'accommoderait aisément des chagrins, si la raison ou le foie n'y succombait. Emil Michel Cioran
    Emil Michel Cioran
  8. On renonce à ce qu'on possède plus aisément qu'on s'abstient d'envier ce qu'on manque. Jean Rostand
    Jean Rostand
  9. On pardonne aisément un tort que l'on partage.
    Victor de Jouy
  10. Le nez est généralement l'organe où s'étale le plus aisément la bêtise. Marcel Proust
    Marcel Proust
  11. On renonce plus aisément à son intérêt qu'à son goût. François de La Rochefoucauld
    François de La Rochefoucauld
  12. L'indifférence et la froideur trouvent aisément des paroles, mais la tristesse et le silence sont alors le vrai langage de l'amitié. Jean-Jacques Rousseau
    Jean-Jacques Rousseau
  13. L'âme résiste bien plus aisément aux vives douleurs qu'à la tristesse prolongée. Jean-Jacques Rousseau
    Jean-Jacques Rousseau
  14. La libre conscience s'accorde plus aisément aux principes généraux qu'aux interdits particuliers.
    Luc Ferry L'Homme-Dieu, p.57
  15. Que l'amour aisément penche à la jalousie ! Qu'on croit tôt ce qu'on craint en ces perplexités, où les moindres soupçons passent pour vérités ! Pierre Corneille
    Pierre Corneille La Suivante, p.113, in Théâtre complet
  16. On pardonne aisément à ceux qu'on n'a pas le pouvoir de punir.
    Filippo Pananti Aventures et observations, III
  17. Les faux brillants se trouvent plus aisément que les pierres précieuses. Voltaire
    Voltaire Lettres philosophiques
  18. On s'expose aisément quand on n'a rien à craindre. Pierre Corneille
    Pierre Corneille Andromède, p.503, in Théâtre complet
  19. Qui pardonne aisément invite à l'offenser ; Pierre Corneille
    Pierre Corneille Cinna, p.271, in Théâtre complet
  20. Qu'aisément un esprit qui se laisse flatter S'imagine un bonheur qu'il pense mériter ! Pierre Corneille
    Pierre Corneille La Suivante, p.122, in Théâtre complet
  21. Nos goûts s'émoussent aisément par la satiété, et il faut rendre grâces à Dieu de nous avoir donné les privations nécessaires pour les conserver. Emilie du Chatelet
    Emilie du Chatelet
  22. Faire aisément ce qui est difficile aux autres, voilà le talent ; faire ce qui est impossible au talent, voilà le génie. Henri-Frédéric Amiel
    Henri-Frédéric Amiel
  23. Il n'y a rien que l'homme foule aux pieds si aisément qu'un cadavre.
    Jules Simon
  24. On supporte moins aisément la passion que la maladie. Il y a toujours du remords et de l'épouvante dans la passion. Alain
    Alain
  25. Chacun croit aisément ce qu'il craint et ce qu'il désire. Jean de La Fontaine
    Jean de La Fontaine
  26. Ah ! mon fils ! que la tendresse d'un père est aisément rappelée, et que les offenses d'un fils s'évanouissent vite au moindre mot de repentir ! Molière
    Molière
  27. On atteint aisément une âme vivante à travers les crimes, les vices les plus tristes, mais la vulgarité est infranchissable. François Mauriac
    François Mauriac
  28. L'esprit lasse aisément, si le coeur n'est sincère. Nicolas Boileau
    Nicolas Boileau
  29. On peut aisément pardonner à l'enfant qui a peur de l'obscurité; la vraie tragédie de la vie c'est lorsque les hommes ont peur de la lumière. Platon
    Platon
  30. L'homme dont les mensonges sont le plus aisément acceptés est celui qui, toute sa vie, a joui de la réputation de franchise. William Faulkner
    William Faulkner Lumière d'août, trad. Maurice-Edgar Coindreau, p.117