Citations similaires :
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Je plains un homme sans vache, je plains un homme sans mouton, mais question d'un homme sans cheval, dur pour lui de rester au monde.
John Millington Synge Les îles d'Aran (1901) -
Je plains l'homme qui ne sent pas le fouet quand c'est le dos d'un autre qui est frappé.
Abraham Lincoln -
Je plains ceux qui ont l'air intelligent ; c'est une promesse qu'on ne peut tenir.
Alain -
Ne te plains pas de ton temps. Si tu le trouves mauvais, demande-toi ce que tu as fait pour le rendre meilleur.
Thomas Carlyle -
Je plains ceux pour qui il n'y a pas de mystère : ils n'ont de mystère pour personne ; et aussi peu de vie, à proportion.
André Suarès -
Ne hais personne, pas même le méchant. Plains le car il ne connaitra jamais la jouissance qui console de vivre : faire le bien.
Octave Mirbeau -
Si tu aimes l'hiver, ne te plains pas du mauvais temps
Mazout Hacène -
L'enfant naturel, l'orphelin Est malheureux et je le plains, Mais, du moins, il n'est pas tenu Au respect d'un père inconnu.
Georges Brassens -
Collectionneurs d'ultimes regards : comme je plains les résignés qui, en mourant, renoncent à tous ceux qui vivent et vivront.
Elias Canetti Le coeur secret de l'horloge, trad. Walter Weideli, p.9 -
Je plains ces fous qui se mutilent par idéalisme pathologique. Ils ont oublié que ce sont les obstacles qui font la route et les résistances le mouvement. Ils voudraient vivre un rêve de parfaite fluidité où toute limite serait abolie.
Georges Picard Le vagabond approximatif, José Corti, 2001, p. 54 -
Ne te plains pas. Brebis bêlante attire le loup.
Alexandre Arnoux -
Je plains l'homme accablé du poids de son loisir.
Voltaire -
L'enfant naturel, l'orphelin est malheureux et je le plains, mais, du moins, il n'est pas tenu au respect d'un père inconnu.
Georges Brassens Ce n'est pas tout d'être mon père -
Pauvre amant, je te plains qui ne sais pas encore que bien qu'une beauté mérite qu'on l'adore, pour en perdre le goût, on n'a qu'à l'épouser.
Pierre Corneille -
Dans la rivière des larmes, ne te plains jamais. Fais du temps ton ami.
Élisabeth Kübler-Ross Mémoires de vie, mémoires d'éternité : La mort n'existe pas -
Je plains les hommes qui parlent sans cesse de l’instabilité des choses de ce monde, et se perdent dans la contemplation de leur néant. Ne sommes-nous pas ici-bas pour rendre impérissable ce qui est de sa nature périssable ? Or cela ne peut arriver si nous ne savons estimer ce qui passe comme ce qui est éternel.
Johann Wolfgang von Goethe -
Je plains les gens petits : ils sont les derniers à savoir quand il pleut.
Peter Ustinov -
Je plains les neutres qui n'aiment pas de toutes leurs forces.
Jean Marais -
Si Dieu n'existe pas, je plains ceux qui, pour conquérir là-haut un paradis hypothétique, ont transformé ici-bas leur vie en un enfer de contraintes et de renoncements.
Philippe Bouvard -
Je plains les gens qui ne se fâchent avec personne. D'abord, ils pèchent souvent par indifférence. Ensuite, ils ne vont pas au bout de leurs sentiments. Enfin, ils se privent des joies pures de la réconciliation.
Philippe Bouvard -
Je plains les gens petits : ils sont les derniers à savoir qu'il pleut.
Peter Ustinov -
Plains ceux qui ont peur car ils créent leurs propres terreurs.
Stephen King -
L'homme qui a un peu usé ses émotions est plus pressé de plaire que d'aimer.
George Sand -
Plus un citron est pressé, plus il se dépêche...
Pierre Dac -
Don Juan est un touriste pressé.
Maurice Donnay -
Ne te presse pas : cela oppresse.
Claude Roy -
Le militant qui ne lit que "sa presse" m'exaspère.
Michel Polac -
Quand tu es mort, plus rien ne presse.
proverbe chilien -
Rien ne sert de courir si l'on n'est pas pressé.
Pierre Dac -
Il est clair que la liberté de la presse aujourd'hui est essentiellement la liberté pour les puissances d'argent d'accaparer les entreprises de presse et pour les journalistes la liberté de faire carrière en gérant cette confiscation de la parole publique.
Alain Accardo « Un Journalisme de classes moyennes », Alain Accardo, dans Médias et censure. Figures de l'orthodoxie, Pascal Durand, éd. Université de Liège, 2004 (ISBN 2-930322-70-5), p. 53