Citations similaires :
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Après huit ans de vie commune, elle est partie enfin. Enfin, me voilà seul ! Je le souhaitais depuis longtemps. Je vais donc enfin vivre seul ! Et, déjà, je me demande avec qui.
Sacha Guitry Elles et Toi, p.30 -
Je m'appelle Jacques Mesrine et je t'emmerde.
film Mesrine : l'Instinct de mort -
Est-ce que vous auriez un Pola ? Un Polaroïd, Jacques !
film Les visiteurs -
Jacques se met à border le lit activement, avec un soin de vieille fille.
Alphonse Daudet -
- Tu braques chez moi, Jacques ? - Et alors, ça te pose un problème ? - Tu n'iras pas loin... - J'vais où j'veux.
film Mesrine : l'Instinct de mort -
Il se rappela soudain que Jacques l'avait prévenu, la veille, qu'on allait changer d'heure. Il n'avait rien compris à ce que lui avait expliqué son fils, mais avait annoncé que, de toute façon, le soleil et lui n'avaient rien à foutre de ce que décidaient les abrutis de Parisiens !
Claude Michelet Des grives aux loups (1979) -
Quand je pense que Jacques Anquetil a remporté cinq Tour de France sans passer en tête au sommet d'un seul col, je n'en reviens pas !
Raphaël Geminiani -
JACQUES : On ne fait jamais tant d'enfants que dans les temps de misère. Le Maître : Rien ne peuple comme les gueux.
Denis Diderot Jacques le Fataliste et son maître, p.511, in Oeuvres romanesques -
- Mais comment il fait pour respirer, là-dessous ?- Jacques ? Il respire pas.
film Le grand bleu -
Il vaut mieux cinq ans avec Jospin que sept ans avec Jacques Chirac. Ce serait bien long
Lionel Jospin Débat du 2 mai 1995 -
Le Maître : dis-moi ce que tu as essayé. Jacques : De me moquer de tout. Ah ! si j'avais pu y réussir ! Le Maître : À quoi cela t'aurait-il servi ? Jacques : À me délivrer du souci, à n'avoir plus besoin de rien, à me rendre parfaitement maître de moi, à me trouver aussi bien la tête contre une borne, au coin de la rue, que sur un bon oreiller. Tel je suis quelquefois ; mais le diable est que cela ne dure pas, et que dur et ferme comme un rocher dans les grandes occasions, il arrive souvent qu'une petite contradiction, une bagatelle me déferre ; c'est à se donner des soufflets. J'y ai renoncé ; j'ai pris le parti d'être comme je suis ; et j'ai vu, en y pensant un peu, que cela revenait presque au même, en ajoutant : Qu'importe comme on soit ? C'est une autre résignation plus facile et plus commode.
Denis Diderot Jacques le Fataliste et son maître, p.574, in Oeuvres romanesques -
Quand on vit enfin, on ne réfléchit pas sur ce qu'on vit : on en profite tout simplement. Le questionnement vient après, une fois que le corps s'est délesté de sa fureur de vivre.
Victor-Lévy Beaulieu -
Enfin seul, sans s.
Jules Renard -
- On n'a plus d'idées. On n'a plus que des besoins. - Enfin, on est devenus adultes !
Georges Wolinski -
J'ai passé ma vie à t'attendre ou à te chercher. Enfin, te voilà ! Un peu tard peut-être, mais c'est bien avec toi que je veux être jusqu'à ce que ma mort nous sépare.
Romain Guilleaumes Ainsi fut dit -
Enfin, il n'est que trop certain que ce carnage dégoûtant, étalé sans cesse dans nos boucheries et dans nos cuisines, ne nous paraît pas un mal. Qu'y a-t-il pourtant de plus abominable que de se nourrir continuellement de cadavres ?
Voltaire Nouveaux mélanges philosophiques, historiques, critiques, etc. etc, Volume 17 -
J'ai un copain, il est pilote d'essai... enfin, il ne l'est pas encore ; pour l'instant, il essaie d'être pilote !
Raymond Devos -
Il m'apparut enfin que les français n'étaient pas d'une race à part, qu'ils ne m'étaient pas supérieurs, qu'ils pouvaient, eux-aussi, être bêtes et ridicules - bref, que nous étions frères, incontestablement. Je compris enfin que la France était faite de mille visages, qu'il y en avait de beaux et de laids, de nobles et de hideux, et que je devais choisir celui qui me paraissait le plus ressemblant. (...) Je pris parti, choisis mes allégeances, mes fidélités, ne me laissai plus aveugler par le drapeau mais cherchai à reconnaître le visage de celui qui le portait.
Romain Gary La promesse de l'aube -
Je ne disais rien non plus de mon bonheur. Enfin, c'est sûrement un mot excessif. Je ne devrais pas dire bonheur, mais il manque un terme qui évoque le simple fait d'être bien. On pourrait dire bienheur.
David Foenkinos La Tête de l'emploi (2014) -
Je suis enfin descendu de mon piédestal
Matthew Perry -
En Angleterre, c'est facile de savoir si l'été est enfin là : la pluie devient plus chaude.
Tim Harrod -
Quel homme !... enfin, presque !
film Mulan -
Car enfin, que sert-il d'écrire ? N'est-ce pas assez de penser ?
François Joachim de Pierre de Bernis -
Car enfin, qu'est-ce qu'un homme dans la nature ? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant , un milieu entre rien et tout.
Blaise Pascal -
Est-ce qu'on divorce parce qu'on connaît enfin l'autre ?
Michèle Mailhot -
Le bonheur c'est l'absence, c'est d'être enfin absente à soi, rendue à toutes choses alentour.
Christian Bobin Isabelle Bruges, coll. folio # 2820 -
- 2.21 Gigowatts ! Mon dieu ! - Mais enfin c'est quoi un gigowatt ? - Je devais être complètement dans les nuages ! 2.21 Gigowatts, comment puis-je générer une puissance pareille monsieur Edisson ? C'est impossible je n'y arriverais pas ! - Mais Doc écoutez c'est rien, tout ce qu'il faut c'est un peu de plutonium !
film Retour vers le futur -
Enfin, comme je te le disais, la crevette c'est le fruit de la mer. On la fait au barbecue, bouillie, grillée, rôtie, sautée. T'as la crevette kebab, la crevette créole, le gombo de crevettes ; à la planche, à la vapeur, en sauce ; tu fais l'avocat crevettes, la crevette citron, la crevette à l'ail, la crevette au poivre ; soupe de crevettes, ragoût de crevettes, la salade de crevettes, cocktail de crevettes, le hamburger de crevettes, le sandwich crevettes. Ah... C'est à peu près tout.
film Forrest Gump -
L'habitude de rentrer en moi-même me fit perdre enfin le sentiment et presque le souvenir de mes maux, j'appris ainsi par ma propre expérience que la source du vrai bonheur est en nous, et qu'il ne dépend pas des hommes de rendre vraiment misérable celui qui sait vouloir être heureux.
Jean-Jacques Rousseau Rêveries du promeneur solitaire (1782), Jean-Jacques Rousseau, éd. Flammarion, 1964, p. 46n -
L'habitude de rentrer en moi-même me fit perdre enfin le sentiment et presque le souvenir de mes maux, j'appris ainsi par ma propre expérience que la source du bonheur est en nous, et qu'il ne dépend pas des hommes de rendre vraiment misérable celui qui sait vouloir être heureux.
Jean-Jacques Rousseau Rêveries du promeneur solitaire (1782)