Citations similaires :
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- Jonathan, je croyais avoir dit plus d'orgie romaine. - C'est ça la popularité.
film Le retour de la momie -
Je croyais avoir touché le fond...... mais j'ai découvert des sous sols.....
internaute -
- McClane, je croyais vous avoir déjà tué ! - Oui je sais, on me le dit souvent.
film Die Hard 4 - retour en enfer -
Je croyais en avoir fini avec mes rêves, mais eux n’en avaient pas fini avec moi.
Eden Dark Instagram de l'artiste -
La culture ce n'est pas avoir le cerveau farci de dates, de noms ou de chiffres, c'est la qualité du jugement, l'exigence logique, l'appétit de la preuve, la notion de la complexité des choses et de l'arduité des problèmes. C'est l'habitude du doute, le discernement dans la méfiance, la modestie d'opinion, la patience d'ignorer, la certitude qu'on n'a jamais tout le vrai en partage; c'est avoir l'esprit ferme sans l'avoir rigide, c'est être armé contre le flou et aussi contre la fausse précision, c'est refuser tous les fanatismes et jusqu'à ceux qui s'autorisent de la raison ; c'est suspecter les dogmatismes officiels mais sans profit pour les charlatans, c'est révérer le génie mais sans en faire une idole, c'est toujours préférer ce qui est à ce qu'on préférerait qui fût.
Jean Rostand Le droit d'être naturaliste (1963) -
L'estime de soi est essentielle pour avoir un cerveau heureux.
Michel Cymes -
Les grands mathématiciens doivent avoir dans leur cerveau les mêmes circonvolutions-antennes, capteuses de lumière invisible, que les grands poètes.
René Barjavel La charrette bleue, p. 230 -
Je ne croyais plus à l'Ennui jusqu'à ce que je commence à sentir l'Existence peser sur moi.
Meb ROCK Livre de citations - Thebookedition -
- Harvey ? Je te croyais mort. - À moitié.
film The Dark Knight: Le Chevalier noir -
Si je croyais aux sorts, je dirais qu'on m'en a jeté un.
Alphonse Allais -
Je croyais que le monde pouvait changer.
film Un Monde Meilleur -
Je ne croyais pas que l'ennui put être si cruel.
Tristan Bernard -
Qui qui concasse de la coco ? Je croyais que tu t'étais mis au thé !
série Gossip girl -
- Je te croyais mort. - Techniquement, je n'ai jamais été vivant, mais merci de vous soucier de mon sort.
film I, robot -
Je croyais que le grade donnait de l'autorité : il en ôte.
Jules Vallès -
Tu ne vivrais pas, si tu ne croyais pas. Chacun croit.
Romain Rolland -
Je croyais être invincible par le coeur, pourtant j'ai été la cible de tout un malheur
Alex's Leriche -
Je croyais que la plus belle vie au monde c'était de vendre la came et de conduire des belles bagnoles.
Snoop Dogg -
- Je croyais que l'amour était aveugle. - Non, il est juste légèrement myope.
film Las Vegas -
Avant, je croyais que le monde se divisait en tribus. En noir et blanc, en indien et blanc. Mais je sais à présent que ce n'est pas vrai. Le monde n'est divisé qu'en deux tribus : ceux qui sont des enfoirés et ceux qui n'en sont pas.
Sherman Alexie Le premier qui pleure a perdu -
- Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un coeur.. . - Mais c'est là que tu te trompes : je suis totalement superficiel !
film Pour un garçon -
Pendant longtemps, je croyais qu'il se passait des choses extraordinaires sous les jupes des femmes.
François Truffaut -
Je n'ai jamais pu faire coïncider ce que je croyais être la vérité avec ce qui m'aidait à vivre.
Jean Grenier -
Je croyais qu'on pouvait mourir de honte. Ce n'est pas vrai. Je croyais aussi qu'il est impossible de haïr sa mère. Ce n'est pas vrai non plus.
Yvan Audouard -
Le silence était si absolu que je me croyais sourd.
Jules Renard -
Je croyais être indécis mais je n'en suis plus certain.
inconnu -
- Je croyais que c'était votre petite-amie. - Non, ce n'est pas ma petite-amie. Elle n'est pas vous.
film Confessions d'une accro du shopping -
- Si ta mère te voyait, elle s'affolerait ! - J'croyais que c'était toi ma mère ?
film Il faut sauver le soldat Ryan -
Vérité :Je n'ai jamais pu faire coïncider ce que je croyais être la vérité avec ce qui m'aidait à vivre.
Jean Grenier -
Je croyais t'aimer, avant ; ce n'était rien à côté de la certitude que j'en ai aujourd'hui. Etait-ce si merveilleux parce que c'était court et volé à la vie ? Nous jouions-nous la comédie l'un à l'autre, l'un pour l'autre ? Etais-je moins moi, ou davantage moi ? Etais-tu moins ou plus toi ? Est-ce folie que de croire que ça pourrait continuer ? Quand et où commencerait la grisaille ? Je t'étudie tellement, afin de découvrir d'éventuels défauts, des points faibles, des zones dangereuses. Je n'en trouve pas - pas les moindres. Cela veut dire que je suis amoureux, aveugle, aveugle, aveugle. Etre aveugle à jamais.
Henry Miller Lettre d'Henry Miller à Anaïs Nin le 14 août 1932