Eh ben moi, si j'avais...

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   Voici les quelques poèmes qui nous semblent être souvent reconnus comme étant les meilleurs, les plus beaux poèmes français.

3. Dois-je demander comment finira ce monde, ou comment a débuté cet enfer ?

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4. Je n'avais jamais su que le monde était si cruel que lorsque je t'ai perdu dans ma vie.

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5. Je croyais que j'avais peur de la mort alors que j'avais peur de la vie.

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6. Ce qui est mystique ce n'est pas comment est le monde, mais le fait qu'il est.

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7. On entend souvent dire : "Si j'avais ceci, si j'avais cela, je serai heureux", et l'on prend l'habitude de croire que le bonheur réside dans le futur et ne vit qu'en conditions exceptionnelles. Le bonheur habite le présent, et le plus quotidien des présents. Il faut dire : "J'ai ceci, j'ai cela, je suis heureux". Et même dire : "Malgré ceci et malgré cela, je suis heureux".

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9. Ne critiquez pas le monde, améliorez-le. Comment ? En vous améliorant vous-même à chaque instant.

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10. La moitié du monde ne sait comment l'autre vit.

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11. J'avais tout bien préparé, j'avais fait mon CV, dans la case loisirs j'avais mis que j'aimais bien le kayak. J'avais jamais fait de kayak, mais j'aime bien les mots qui se lisent dans les deux sens.

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12. Je n'ai pas encore compris comment fonctionne le monde, mais je sais très bien ce que le ciel exige de moi. Le temps du gâchis est fini. Maintenant, je pose la main sur tout ce qui est beau.

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13. J'avais eu raison, j'avais encore raison, j'avais toujours raison.

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14. L'on ne sait plus comment ce monde va finir. Il y a tant de détonateurs communs. Périr par les eaux d'une mer qui nous submerge ou des eaux diluviennes du ciel ? Périr par le feu des volcans qu'on croyait trop vieux, d'une lave qui bouillonne et de la poussière de cendres ? Périr du manque d'eau ou de la sécheresse d'un soleil ardent à nous brûler la vie ? Ou aussi périr d'un météorite percutant notre planète ? Mais le pire serait de périr par la bêtise humaine, d'en appuyer sur les boutons de nous anéantir par la plus grande explosion. Périr pour cause d'une surpopulation à une crise alimentaire ou d'une surproduction des matières premières. Mourir de faim ou de ne plus jamais pouvoir faire... Si le changement c'est maintenant, la fin c'est pour demain et souhaitons que demain sera toujours plus loin...

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15. Tout le monde s'interroge sur comment laisser une meilleure planète à nos enfants, mais on devrait plutôt penser à laisser de meilleurs enfants pour notre planète.

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16. Existe-t-il au monde un homme qui sache bien comment il est et ce qu'il fait quand il dort ?

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17. C'est rien madame, j'avais une roue, j'avais un cric. Ce sera vite fait, vous allez voir. Bougez pas.

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18. On se met en peine de savoir comment est fait le monde, et l'on ne s'inquiète pas de savoir comment on est fait soi-même.

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19. S’il m’est impossible de comprendre ce Monde, comment pourrai-je percevoir l’Autre ?

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20. Que de monde ! Comment peut-on vivre ici ?.. L'air est vicié !

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21. Comment penser le monde si on ne sait pas le rêver ?

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22. Un cinéaste, ça se demande comment va le monde. S'il ne pose pas cette question, il fait du cinéma qui se prend le pouls.

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23. La vraie richesse d'un homme en ce monde se mesure au bien qu'il a fait autour de lui.

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24. Parmi ces divers bruits du monde, comment ne pas sursauter allègrement à l'annonce de l'abolition de la peine de mort en France ? Comment résister à l'envie d'applaudir une telle loi, quand bien même elle arrive tardivement ? L'Humanité respire beaucoup mieux. Et la justice peut enfin s'exprimer pleinement.

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26. Tout le monde croit savoir exactement comment nous devrions vivre.

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27. Tout le monde sait comment élever des enfants, sauf ceux qui en ont.

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28. Une fois que le bateau a coulé, tout le monde sait comment on aurait pu le sauver.

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29. Vous ne savez pas comment servir les hommes. Comment sauriez-vous servir les dieux ?

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30. Comment peut-on être philosophe ? Comment avoir le front de s'attaquer au temps, à la beauté, à Dieu, et au reste ? L'esprit s'enfle et sautille sans vergogne. Métaphysique, poésie, - impertinences d'un pou...

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31. Ainsi va le monde, Messieurs-Dames. Voilà, voilà, comment il tourne. Du sang, de la boue et des larmes. Argent, pouvoir, paquet d'embrouilles.

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32. Tu veux savoir comment j'ai fait ? Je vais te dire comment j'ai fait, Anton. J'ai jamais économisé mes forces pour le retour.

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33. Si vous ignorez tout le monde que vous rencontrez, comment pensez-vous que tout le monde est censé vous respecter ?

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34. Comment reprendre le cours de son ancienne vie, comment continuer, lorsque dans son coeur on commence à comprendre qu'on ne peut plus retourner en arrière. Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser, des blessures si profondes qu'elles se sont emparées de vous.

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