Vous pour qui la nature...

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3. L'intelligence dénuée d'amour pur conduit à une cruauté raffinée.

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4. Le temps passe. Et chaque fois qu'il y a du temps qui passe, il y a quelque chose qui s'efface.

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5. Le plus grand ouvrier de la nature est le temps.

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6. Faire l'amour passe le temps. Et le temps fait passer l'amour.

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7. Il est grand temps de reconnaître à la Nature le magistère absolu d'être la garante de toute vie de de notre survie. Oublier ce caractère irrévocable condamne nos efforts à n'avoir aucun lendemain...

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9. En pleine nature l'air se fait silence et le temps fige cette alliance

   • 39

10. Je t'aime dans le temps. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors, je t'aurai aimée. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été, ne pourra jamais être effacé.

    • 929

11. Que peu de temps suffit pour changer toutes choses ! Nature au front serein, comme vous oubliez !

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12. L'amour est une étoffe tissée par la nature et brodée par l'imagination.

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13. Quand l'amour n'est fait que pour passer le temps, le temps fait vite passer l'amour!

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14. Nous sommes le secret de la nature dévoilé par le temps

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15. Le temps que nous observons dans la nature n'a pas d'existence propre. Il est seulement une façon d'être des choses.

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16. Il y a des chagrins d'amour que le temps n'efface pas et qui laissent aux sourires des cicatrices imparfaites.

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17. L'homme pille la nature, mais la nature finit toujours par se venger.

    • 202

18. La cruauté envers les animaux est la violation d'un devoir de l'homme envers lui-même.

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19. Il ne peut y avoir d'amitié là où se trouvent la cruauté, la déloyauté, l'injustice. Entre méchants, lorsqu'ils s'assemblent, c'est un complot et non une société. Ils ne s'aiment pas mais se craignent. Ils ne sont pas amis, mais complices.

    • 88

20. L'amour. C'est l'étoffe de la nature que l'imagination a brodée.

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21. C'est par un amour surhumain qu'on dépasse sa nature.

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22. L'amour pour la nature est le seul qui ne trompe pas les espérances humaines.

    • 18

23. C'est à l'amour maternel que la nature a confié la conservation de tous êtres ; et pour assurer aux mères leur récompense, elle l'a mise dans les plaisirs, et même dans les peines attachées à ce délicieux sentiment.

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24. L'amour déborde, c'est sa nature.

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26. L'amour d'une mère pour son enfant ne connaît ni loi, ni pitié, ni limite. Il pourrait anéantir impitoyablement tout ce qui se trouve en travers de son chemin.

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27. Cultivez votre amour de la nature, car c'est la seule façon de mieux comprendre l'art.

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28. La nature, en cuisine comme en amour, nous donne rarement le goût de ce qui nous est mauvais.

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29. La cruauté commence et prend fin en soi.

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30. La cruauté envers les animaux et même déjà l'indifférence envers leur souffrance est à mon avis l'un des péchés les plus lourds de l'humanité. Il est la base de la perversité humaine. Si l'homme crée tant de souffrance, quel droit a-t-il de se plaindre de ses propres souffrances ?

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31. Devant les livres, la nature ou l'amour, vous êtes comme à vingt ans: au tout début du monde et de vous.

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32. Le temps fait du bien à l'amour contrairement à ce qu'on pense, les regrets c'est quand on se goure concrètement.

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33. L'amour du temps perdu. Le temps perdu est comme le pain oublié sur la table, le pain sec. On peut le donner aux moineaux. On peut aussi le jeter. On peut encore le manger, comme dans l'enfance le pain perdu: trempé dans du lait pour l'adoucir, recouvert de jaune d'oeuf et de sucre, et cuit dans une poêle. Il n'est pas perdu, le pain perdu, puisqu'on le mange. Il n'est pas perdu, le temps perdu, puisqu'on y touche à la fin des temps et qu'on y mange sa mort, à chaque seconde, à chaque bouchée. Le temps perdu est le temps abondant, nourricier.

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34. On compare parfois la cruauté de l'homme à celle des fauves, c'est faire injure à ces derniers.

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