Souvent une personne n a...

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3. La souffrance morale, c'est une douleur qui te transperce tout le corps et qui te donne l'envie de crier haut et fort que tu as de la peine. Seule la main tendue d'un parent, enfant, ami, etc., peut te redonner une certaine paix intérieure.

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4. La douleur de l'âme pèse plus que la souffrance du corps.

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5. A un certain degré de souffrance, la douleur nous laisse voir pleinement la beauté immédiate de chaque instant.

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6. La souffrance, la douleur n'existent pas puisqu'on peut les oublier ; elles tarissent, délaissées.

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7. La douleur et la souffrance sont des croix personnelles. On est toujours seul à les porter.

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9. Le désir est une source de trouble et de souffrance...

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10. Aimer sans qu'on ne vous aime est souffrance et douleur

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11. Le désir, de sa nature, est souffrance; la satisfaction engendre bien vite la satiété; le but était illusoire; la possession lui enlève son attrait; le désir renaît sous une forme nouvelle, et avec lui le besoin; sinon, c'est le dégoût, le vide, l'ennui, ennemis plus rudes encore que le besoin.

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12. Toute douleur qui n'aide personne est absurde.

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13. Personne ne saurait en finir. On peut changer de souffrance. On ne peut supprimer la souffrance.

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14. Ne sous estime jamais la douleur d'autrui, personne ne la vit pareil

    

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15. La souffrance animale et la souffrance humaine sont intimement liées, c'est toujours la même histoire de domination, le plus faible à la merci du plus fort, un esclavage trouvant son origine dans l'éternel rapport de force.

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16. La souffrance morale fait pleurer; la souffrance physique crier.

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17. Mieux vaut une fin dans la douleur qu'une douleur sans fin.

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18. La naissance est souffrance, la vieillesse est souffrance, la maladie est souffrance, la mort est souffrance ; être uni à ce qu'on aime n'est pas souffrance, être séparé de ce qu'on aime est souffrance, ne pas avoir ce qu'on désire est souffrance ; en résumé : les cinq agrégats de l'attachement sont souffrance.

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19. Toute douleur qui ne détache pas est de la douleur perdue.

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20. Qu'est-ce que la douleur physique près de la douleur morale !

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21. Ici-bas, la douleur à la douleur s'enchaîne ; Le jour succède au jour, et la peine à la peine.

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22. O douleur ! O douleur ! Le temps mange la vie, et l'obscur Ennemi qui nous ronge le coeur du sang que nous perdons croît et se fortifie !

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23. La joie est tributaire de la souffrance. La souffrance est partie essentielle de la joie. Quand nous avons faim, songez comme la nourriture nous paraît bonne !

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24. La douleur morale est plus cuisante que la douleur physique ; l'ennui, la séparation, sont des maux capables de causer les pires ravages, même chez les personnes les plus plus fortes.

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26. La douleur de la patience pèse temporairement, la douleur du regret est durable.

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27. Le désir satisfait fait place aussitôt à un nouveau désir; le premier est une déception reconnue, le second est une déception non encore reconnue. La satisfaction d'aucun souhait ne peut procurer de contentement durable et inaltérable. C'est comme l'aumône qu'on jette à un mendiant : elle lui sauve aujourd'hui la vie pour prolonger sa misère jusqu'à demain.

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28. Le désir sexuel peut aussi être le désir de tuer.

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29. Tout désir, même celui de parler, est un désir de vivre.

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30. De douleur en douleur, tu deviendras un homme meilleur.

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31. Désir de femme est un feu qui dévore Désir de nonne est cent fois pire encore.

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32. Le désir de l'homme trouve son sens dans le désir de l'autre.

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33. Le désir, seul ressort du monde, le désir, seule rigueur que l'homme ait à connaître.

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34. Un désir satisfait élève un désir plus ardent encore ; les souhaits se multiplient, les voeux s'étendent ; une grâce reçue ouvre le coeur à l'espérance d'une grâce plus grande.

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