Sur le chemin de la...

Citations similaires à "Sur le chemin de la..." :

2. Lire aussi : L'Abbé Pierre, Une vie de combats : connaissez-vous bien l'Abbé Pierre ?

   Connaissez-vous toutes les facettes de ce personnage, élu 16 fois célébrité française la plus populaire de l'histoire ?

3. L'échange culturel est le chemin par lequel les âmes voyagent par-delà les frontières.

   • 4

4. Il vaut mieux ne pas faire le voyage que s'arrêter en chemin.

   • 1

5. Le but du voyage n'est pas de poser le pied sur une terre étrangère. C'est finalement de poser le pied dans son propre pays comme s'il s'agissait d'une terre étrangère.

   • 3

6. Chemin : bande de terre sur laquelle on marche à pied. La route se distingue du chemin non seulement parce qu'on la parcourt en voiture, mais en ce qu'elle est une simple ligne reliant un point à un autre. La route n'a par elle-même aucun sens ; seuls en ont un les deux points qu'elle relie. Le chemin est un hommage à l'espace. Chaque tronçon du chemin est en lui-même doté d'un sens et nous invite à la halte. La route est une triomphale dévalorisation de l'espace, qui aujourd'hui n'est plus rien d'autre qu'une entrave aux mouvements de l'homme, une perte de temps.

   • 9

7. On ne revient jamais de voyage, d'aucun voyage. Quand on part, on ne revient pas le même, et c'est ce dépaysement, parce qu'il fait écho à nos fragmentations intérieures, qui brutalise nos accoutumances, tant-il est vrai que nous percevons le monde avec des pré-enregistrements continuellement tamisés parce que nous pensons déjà, savons déjà, anticipons, devinons, pressentons, pour ne pas être attrapés trop brusquement par l'inouï. Ainsi va l'amour quand il est de foudre. Il offre tous les dépaysements possibles au détour de la rue d'à côté.

   • 16

9. En voyage, comme dans le reste de la vie, ce long voyage, le plaisir, paie l'énergie.

   • 3

10. Nous sommes tous gens du voyage. Et ce voyage est la vie. Nous traversons l'un après l'autre des pays où les perspectives et les aventures ne se comparent pas entre elles, où change jusqu'à la perception que nous avons des choses, du temps et de l'espace ... Cette traversée, nous ne l'effectuons pas seuls, mais, bon gré mal gré, avec la caravane de la génération avec laquelle nous nous sommes mis en marche et dont les rangs iront s'éclaircissant jusqu'au terme. Tantôt pleine d'ardeur, elle nous porte dans son élan ; tantôt rétive et incertaine, elle nous grève de son anxiété.

    • 32

11. - Suivons le chemin ! - Quel chemin ? - Le chemin que nous traçons !

    • 36

12. Le vrai voyage, c'est d'y aller. Une fois arrivé, le voyage est fini. Aujourd'hui les gens commencent par la fin.

    • 9

13. Il voyage plus vite celui qui voyage seul.

    • 12

14. C'est un voyage. Au début de ce voyage, dit un poème zen, la montagne au loin a l'air d'une montagne. Au fil du voyage, la montagne ne cesse de changer d'aspect. On ne la reconnaît plus, c'est toute une fantasmagorie qui remplace la montagne, on ne sait plus du tout vers quoi on s'achemine. À la fin du voyage, c'est de nouveau la montagne, mais ça n'a rien à voir avec ce qu'on apercevait de loin il y a longtemps, quand on s'est mis en route. C'est vraiment la montagne. On la voit enfin. On est arrivé. On y est.

    • 4

15. Dès que tu avances sur le chemin, le chemin apparaît.

    • 138

16. Le chemin du paradoxe est le chemin du vrai. Pour éprouver la Réalité, il faut la voir sur la corde raide. On ne juge bien des Vérités que lorsqu'elles se font acrobates.

    • 34

17. Un chemin qui descend est un chemin qui monte en sens inverse et réciproquement.

    • 24

18. Le chemin des paradoxes est le chemin du vrai. Pour éprouver la réalité, il faut la voir sur la corde raide.

    • 19

19. On ne voyage pas pour voyager mais pour avoir voyagé.

    • 6

20. L'espoir est semblable à un chemin de campagne ; le chemin n'a jamais vraiment existé, mais si beaucoup l'empruntent, il finit par apparaître.

    • 17

21. Quand on ne sait pas quel est le vrai chemin, le bon chemin est forcément le vrai.

    • 10

22. On dit se frayer un chemin, mais s'effrayer un chemin serait encore plus juste. Il n'y a de naturel dans le geste de partir que la terreur. Le reste, ce ne sont que des excuses. Voyager se résume à trouver des raisons pour expliquer son absence.

    • 5

23. Le chemin qui descend est un chemin qui va monter lorsqu'il faudra rentrer à la maison

    • 10

24. Le chemin de la sagesse ou de la liberté est un chemin qui mène au centre de son propre être.

    • 6

26. Le pardon n'est pas au bout du chemin ; il est le chemin.

    • 6

27. 'Le but du chemin est le chemin lui-même, un déplacement sans fin qui devrait nous conduire non quelque part mais ailleurs. Vers soi-même ? Je n'en sais rien. S'il n'y a pas de but, il n'y a pas non plus le souci d'accomplir. C'est dans ce nulle part que se trouve la libération, c'est à dire que l'on découvre que l'on est libre.'

    • 13

28. Pour rester terre à terre, il vaut mieux suivre l'eau que de suivre le vent.

    • 11

29. Aujourd'hui, tu es sur terre ! Demain, tu seras sous terre ! Quelle graine vas-tu laisser ?

    • 12

30. La Terre est malade, la Terre est lasse de porter des hommes qui s'entre-tuent, la Terre est fatiguée de nourrir des êtres qui ne peuvent passer une heure de leur existence sans émettre une pensée néfaste.

    • 9

31. Ils débranchent les arbres pour rester plus "terre à terre"....et garder la langue de bois.

    • 3

32. Vivre très terre à terre, c'est perdre de la hauteur.

    • 3

33. Je ne suis pas terre à terre, j'irai toujours chercher la lune.

    • 2

34. Il y a une sorte de libération très terre à terre dans le fait de comprendre qu'il y a certaines vérités sur le fait d'être un être humain limité dont on ne sera jamais libéré. On ne peut pas dicter le cours des événements. Et la récompense paradoxale de l'acceptation des contraintes de la réalité est qu'elles ne semblent plus si contraignantes.

    • 0