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  3. Revoir les lieux autrefois visités, les amis autrefois fréquentés, les livres lus jadis, est une des passions du déclin. Or, c'est précisément se comparer à soi-même; c'est éprouver si l'on a toujours autant de facultés de sentir et si l'on a les mêmes. Emile Faguet
    Emile Faguet L'art de lire, éd Armand Colin
  4. Il s'appelait Robert Polson. Il s'appelait Robert Polson. Il s'appelait Robert Polson.
    film Fight Club
  5. Ma ville appelait ce jeu le jeu du Squid Game. série Squid Games
    série Squid Games
  6. Au bord du gouffre, la noirceur des profondeurs m'appelait. Au fond du gouffre, seule la lumière de la liberté m'obsédait.
    Johann Dizant Livre : la Chronos-positivité
  7. Ce qu'on appelait jadis le vent de Fronde courait dans le Marais. Alphonse Daudet
    Alphonse Daudet
  9. On appelait jadis, à tort, maladies honteuses celles qui affectent les organes nobles et les parties généreuses des individus qui en sont atteints. Pierre Dac
    Pierre Dac
  10. Le rock and roll existe depuis un moment. Avant, on appelait ça le rythme and blues. C'était déjà un truc formidable. C'est devenu encore plus énorme. On a alors prétendu qu'il exerçait une mauvaise influence sur les jeunes. Pour moi, le rock n'est rien d'autre que de la musique. Et je suis persuadé qu'il est là pour un bout de temps. Ou bien il faudra trouver quelque chose de très fort pour le remplacer. Elvis Presley
    Elvis Presley
  11. Mick Jagger nous appelait le Monstre-à-Quatre-Têtes parce qu'on allait partout ensemble et qu'on s'habillait de la même façon. On avait tous des pulls à cols roulés, des costumes sombres et la même coupe de cheveux, alors c'est vrai qu'on avait un peu l'air d'un monstre à quatre têtes. Paul McCartney
    Paul McCartney
  12. Marc-Aurèle avait un rêve, ce rêve s'appelait Rome.
    film Gladiator
  13. Si le mariage n'a plus le faste et la solennité d'autrefois, il reste un jour unique, une frontière symbolique au-delà de laquelle vous ne serez plus la même.
    Nadine de Rothschild Le bonheur de séduire, l'art de réussir
  14. Nunchaku... Le fléau de l'art. Servant autrefois à battre le blé, un certain Bruce Lee en a fait la star des armes à se protéger... Spectaculaire dans le maniement mais redoutable à une portée de coups cependant...
    DESCREA
  15. Le plus beau moment de l'amour, disait-il autrefois, c'est quand je monte l'escalier. Était-ce de l'amour maintenant ? De quel nom appeler cet impétueux élan qui, loin de mettre la suprême joie sur le chemin de Sainte-Radegonde, le torturait de l'attente jusqu'au plein contentement de la rencontre ? Georges Clemenceau
    Georges Clemenceau
  16. On dit qu'autrefois les cigales étaient des hommes, parmi ceux qui existaient avant les Muses. Quand les Muses naquirent et qu'apparut le chant, certains d'entre les hommes de cette époque furent saisis par le plaisir de chanter, à tel point qu'à force de chanter, ils en oublièrent de manger et de boire, et qu'ils moururent sans s'en rendre compte ! C'est d'eux, après cela, qu'est née l'espèce des cigales. Platon
    Platon Phedre
  17. Éclair de vie, fragment d'un instant. Sourire d'autrefois, joie d'aujourd'hui. Pleurer celui qui est parti ou celui qui reste. Aimer celui qui nous ignore ou celui qui vit très loin. S'apprivoiser, mais se tenir à distance. Lâcher du lest, mais maintenir la cadence. Oublier ou se remémorer... L'important est de se donner la peine de vivre intensément ce que l'on n'a pas envie de regretter un jour.
    Joëlle Laurencin
  18. L'amour est une tentative aussi fringante qu'autrefois. Je comprenais que, malgré les chagrins, les erreurs, les échecs et la défaite, j'avais, grâce à mes parents, le goût du bonheur, du combat et des victoires. Marc Lavoine
    Marc Lavoine
  19. Autrefois, la domination était réservée à la noblesse de cour, puis aux stars de cinéma. Depuis que chaque humain est un média, tout le monde veut exercer cette domination sur son prochain, partout. Frédéric Beigbeder
    Frédéric Beigbeder Une vie sans fin
  20. Les morts, ce sont les coeurs qui t'aimaient autrefois. Victor Hugo
    Victor Hugo
  21. Dans le monde d'autrefois, on s'efforçait de comprendre ; dans le nôtre, on veut savoir.
    Jan Greshoff
  22. Autrefois, on emmenait sa secrétaire en voyage en la faisant passer pour sa femme ; aujourd'hui, avec le régime des notes de frais, on emmène sa femme en la faisant passer pour sa secrétaire.
    André Guillois
  23. Autrefois, les illettrés étaient ceux qui n'allaient pas à l'école. Aujourd'hui ce sont ceux qui y vont. Paul Guth
    Paul Guth
  24. Autrefois, l'éducation modelait l'esprit et cultivait le questionnement pour un émerveillement constellé. Aujourd'hui, le cerveau n'est plus qu'un simple récipient.
    Nabil Alami
  26. On accusait autrefois les hommes politiques de ne songer qu'à "se remplir les poches". Aujourd'hui, on ne leur reproche plus guère que de vider les nôtres. André Frossard
    André Frossard
  27. Les glaces ne sont plus ce qu'elles étaient autrefois. Edmond Rostand
    Edmond Rostand
  28. Aux employés modèles, autrefois, on donnait des médailles. Aujourd'hui, sous le nom de séminaire, on leur propose des partouzes. Yvan Audouard
    Yvan Audouard
  29. Autrefois, quand on manquait la diligence, on patientait une semaine. Aujourd'hui, on enrage quand on rate l'ascenseur.
    B. McCormick
  30. Le bonheur n'était autrefois qu'une heure fortunée. Voltaire
    Voltaire
  31. Dieu, autrefois moins vivant qu'on ne l'a cru, est aujourd'hui moins mort qu'on ne le dit.
    Jean Delumeau
  32. Quand j'entends les hommes et les femmes dire : Autrefois je croyais en les hommes, je n'y crois plus à présent. , j'ai envie de leur objecter : Qui êtes-vous, vous que le monde a déçus ? N'avez-vous pas plutôt déçu le monde ? La confiance a toujours les mêmes raisons d'être. Il ne vous faudrait qu'un peu d'amour, à vous qui vous plaignez, pour qu'elle prît racine. Henry David Thoreau
    Henry David Thoreau
  33. Autrefois la nature, énorme, puissante, imprévisible comme une grande personne à côté d'un enfant. On l'aimait, on la craignait, on avait avec elle des secrets. Elle était bonne mais, à tout instant, pouvait vous flanquer une gifle. Aujourd'hui, la nature est débile ; c'est une gâteuse dans une petite voiture. L'homme est obligé de la nourrir, de la torcher, de pousser son chariot. Jean Dutourd
    Jean Dutourd Les pensées (1990)
  34. Les temps changent. Autrefois, c'était l'homme qui décidait. Il donnait la vie, la femme était comme un frigidaire. Enfin, un frigidaire chaud ! Dont l'homme tirait la poignée ! Georges Pompidou
    Georges Pompidou L'Express - 10 Juin 1973