Je n'avais que 4 ans...

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2. Quand je ne tenais pas sur mes pieds, quand j'avais besoin d'une main pour m'orienter, quand j'étais dans l'embarras et le danger, deux mains étaient là pour moi, pour me secourir, pour m'aider et même défendre. C'était les bras de mon valeureux père.

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3. Je croyais que j'avais peur de la mort alors que j'avais peur de la vie.

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4. On entend souvent dire : "Si j'avais ceci, si j'avais cela, je serai heureux", et l'on prend l'habitude de croire que le bonheur réside dans le futur et ne vit qu'en conditions exceptionnelles. Le bonheur habite le présent, et le plus quotidien des présents. Il faut dire : "J'ai ceci, j'ai cela, je suis heureux". Et même dire : "Malgré ceci et malgré cela, je suis heureux".

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5. - Ma mère est morte quand j'avais six ans. Mon père m'a violée quand j'en avais douze. - Ah... vous avez eu six années relativement bonnes.

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6. J'avais tout bien préparé, j'avais fait mon CV, dans la case loisirs j'avais mis que j'aimais bien le kayak. J'avais jamais fait de kayak, mais j'aime bien les mots qui se lisent dans les deux sens.

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8. Quand j'étais plus jeune, j'avais comme règle de ne jamais boire d'alcool fort avant le déjeuner. Maintenant, ma règle est de ne jamais le faire avant le petit-déjeuner.

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9. J'ai toujours aimé les jeunes filles. Quand j'avais huit ans, c'était plus grave : elles étaient encore plus jeunes.

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10. quand j'avais 20 ans, je pensais que c'était cela l'amour ....à 30ans je me suis dit, enfin j'ai trouvé l'amour , a 40 ans je me suis dit ben c'est cela alors l'amour.... waouh .... et maintenant a 50 ans je sais ce qu'est l'amour, c'est merveilleux!

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11. Quand j'avais le choix, je préférais, de loin, la côte en hiver, le pluie fine, le ciel gris, léger et dégradé confondu avec la mer bien avant l'horizon, la mer, la mer comme un grand lavoir à cerveaux brassant et ressassant inlassablement dans un bruit de verre pilé toutes les pensées qu'on lui confie et qu'elle nous emporte, la mer comme un tambour lent de lessiveuse à idées noires, gris et plate vue de la côte jusqu'autour de la terre.

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12. J'avais eu raison, j'avais encore raison, j'avais toujours raison.

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13. - Mec, il faut prévenir quand t'en lâches un pareil. J'avais la bouche ouverte, bordel ! - Écoute l'âne, si c'était mon pet, tu serais déja mort !

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14. C'est rien madame, j'avais une roue, j'avais un cric. Ce sera vite fait, vous allez voir. Bougez pas.

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15. Quand j'étais petit, j'avais peur du monstre qui viendrait me manger, c'est pour ça que j'aimais bien avoir un copain qui dort à la maison, non pas pour qu'il me protège mais pour que le monstre le mange en premier et que j'ai le temps de me barrer.

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16. Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d'aller de l'avant.

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17. Si, quand vous aviez six à sept ans, je vous avais appris la table de multiplication, celle des chiffres, je pourrais peut-être maintenant vous apprendre l'autre table de multiplication, celle des choses. Mais, vous êtes devant moi avec des comptes déjà faits.

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18. J'ai vécu à New York quand je n'avais rien, et j'ai vécu à New York quand j'avais de l'argent, et New York change radicalement en fonction de combien d'argent vous avez.

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19. Quand on veut on peut, quand on peut on doit.

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20. Il faut cueillir les cerises avec la queue. J'avais déjà du mal avec la main !

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21. Je n'ai pas d'éducation. J'ai l'inspiration ! Si j'avais fait des études, je serai un imbécile.

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22. Je me suis rendu compte que j'avais pris de l'âge le jour où j'ai constaté que je passais plus de temps à bavarder avec les pharmaciens qu'avec les patrons de bistrot.

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23. Hier encore, j'avais vingt ans, je gaspillais le temps en croyant l'arrêter, et pour le retenir même le devancer, je n'ai fait que courir et me suis essoufflé.

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25. J'ai pleuré parce que je n'avais pas de souliers, jusqu'au jour où j'ai vu quelqu'un qui n'avait pas de pieds.

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26. Lorsque j'avais 17 ans, j'ai lu une citation qui ressemblait à ce qui suit : "Si vous vivez chaque jour comme si c'était le dernier, vous finirez par avoir raison un jour". Cela m'a impressionné et cela fait 33 ans ; depuis lors que je me regarde dans le miroir chaque matin en me demandant: "Si aujourd'hui était le dernier jour de ma vie, voudrais-je faire ce que je prévois de faire aujourd'hui ?" Si la réponse est "NON" pendant plusieurs jours de suite, je sais que je dois changer quelque chose.

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27. Si j'avais eu la conscience suffisamment claire et les mots suffisamment nuancés pour l'exprimer, j'aurais aimé te dire que nous sommes là pour explorer, découvrir et partager ce qu'il y a de meilleur en nous. Chacun possède un trésor. Sois conscient et généreux de ton trésor et, en même temps, reste ouvert, attentif à recevoir le trésor des autres, disposé à apprendre et à te remettre en question. Cherche la beauté, la vérité, l'excellence en accueillant aussi ta fragilité, ta vulnérabilité et ton ombre, de sorte d'être à même d'accueillir celles des autres. Occupe joyeusement ta place: il y a de la place pour chacun, sinon ni toi ni moi ne serions là. Pense que ta place que tu n'occupes pas pour ne pas déranger reste vide à jamais et réjouis-toi que chacun occupe pleinement la sienne autour de toi.

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28. À 9 ans mon agent m'a dit que j'avais le nom d'un tortue ninja.

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29. Qu'est-ce que je me serais ennuyé si je n'avais pas été là.

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30. J'ai consulté mon téléphone : je n'avais aucun message. C'est à cela que servent les téléphones portables, à se rendre compte que personne ne pense à vous. Avant, on pouvait toujours rêver que quelqu'un cherchait à vous joindre, à vous parler, à vous aimer. Nous vivons maintenant avec cet objet qui matérialise notre solitude.

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31. Si j'avais un fils à marier, je lui dirais : Méfie-toi de la jeune fille qui n'aime ni le vin, ni la truffe, ni le fromage, ni la musique.

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32. Si je n'avais pas donné mon argent, j'en aurais eu plus que n'importe qui d'autre sur la planète.

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33. J'ai composé de la musique toute ma vie et si j'avais été assez intelligent à l'école, je serais allé au collège de musique.

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